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Scopo del presente lavoro è la ricostruzione dell'itinerario speculativo di Bontadini.
Per ragioni interne all'effettivo dispiegarsi del suo pensiero, teniamo distinte tre fasi:
1) l'iniziale posizione attualistica, problematicistica e fideistica (il primo Bontadini,
persuaso che il sapere metafisico sia un compito non ancora eseguito);
2) il momento contraddistinto dalla costituzione di una metafisica di stampo
aristotelico - tomista (il secondo Bontadini, il quale riconosce che nel pensiero della
tradizione è operante il principio della costruttività in senso metafisico, principio
fornito di una virtù inferenziale, sintetica);
3) il momento segnato dal confronto con la tesi dell'eternità dell'ente sostenuta da E.
Severino in Ritornare a Parmenide, confronto che ha imposto una curvatura speciale
all'impianto logico dell'inferenza metempirica (il terzo Bontadini, che accetta, sia pure
solo in parte, l'affermazione dell'immobilità dell'ente in quanto ente e la connessa
affermazione della contraddittorietà del divenire in quanto tale).
Si intende, ovviamente, giustificare questa generica suddivisione seguendo gli snodi
concettuali secondo cui essa si articola nel concreto del pensiero del filosofo.
La pensée de G. Bontadini se développe en trois parties:
1) la première position se rapporte à l'actualisme;
2) la deuxième est marquée par la construction d'une métaphysique qui s'inspire de la
doctrine d'Aristote et de S. Thomas;
3) la troisième se rapporte à la philosophie de E. Severino et à la doctrine de l'éternité
de l'être.
Cette étude sur Bontadini est donc divisée en trois parties.
La première partie est intitulée: Bontadini première manière: entre les suggestions
de l'actualisme et l'enseignement de la philosoophie traditionelle. Cette première
partie est divisée en trois chapitres: 1) dans le chapitre premier on parle de la notion de
l'Unité de l'Expérience et de sa structure problématique. Il s'agit de montrer (avec
Bontadini) le passage du formalisme absolu de G. Gentile à la notion méthodologique
(et spéculative) de l'Unité de l'Expérience qui est l'acte de Gentile privé de sa valence
théologique. Dans cette première phase de sa pensée, Bontadini s'engage à montrer
que ni la philosophie de l'immanence ni la philosophie de la trascendance a trouvé la
dernière fondaction de sa thèse. Du jugement problématique (si l'Unité de
l'Expérience coïncide avec la Totalité de l'être) on peut sortir avec la position d'un
postulat: le Postulat de la rationalité du réel.
La deuxième partie est intitulée: Bontadini deuxième manière: retour à la
metaphisique classique et construction de la synthèse métempirique. Cette deuxième
partie est divisée en trois chapitres: 1) La notion de la synthèse a priori (au seuil du
savoir stable); 2) Construction et structure de la metaphisique incontestable 3) Le
Principe de la metaphisique. À partir de sa profonde réflection sur le principe
aristotélicien de l'hétéronymie du mouvement, et sur les notions de l'être, du néant et
du devenir, Bontadini parvient (dans cette deuxième phase de sa pensée) à la
construction de la synthèse métempirique. Il s'agit du passage de l'actualisme, qui a
déjà été réconduit au problématicisme et au fïdéisme (la foi est la forme du Postulat),
à la metaphisique. La formule de cette deuxième position se résume à la définition du
Principe de la Metaphisique: l'être ne peut pas être originairement limité par le néant.
Bontadini soutient que le devenir est contradictoire en tant qu'absolutisé. Il reconduit
cette Principe (qui'il appelle Principe de Parménide) au Principe de non contradiction.
La contradiction du devenir absolu est enlevée par l'introduction de la notion de
Création.
La troisième partie est intitulée: Bontadini troisième manière: le virage
néoparménidean. Cette troisième partie est divisée en trois chapitres: 1) Fondement,
....... et thèse de l'éternité de l'être (confrontation avec la philosophie de E.
Severino); 2) "Dialessi théologique et vérité de l'être; 3) L'impossibilité que l'être
ne soit pas. Dan cette dernière phase de sa penseée Bontadini reconnaît que la
contradiction du devenir est l'affirmation que l'être ne soit pas. (C'est la thèse de
Severino). Pas, donc, le devenir en tant qu'absolutisé, mais le devenir en tant que
devenir est la quintessence de la contradiction. Cependant il croit que le devenir soit
l'évidence originaire. Pour résoudre cette contradiction entre le logos et l'expérience,
il avance sa nouvelle démonstration (dialectique) de l'existence de Dieu.
Dans cette troisième partie on veut démontrer que, si on dispose les termes de la
contradiction à la manière de Bontadini, c'est pas possible résoudre la contradiction
susdite.
Finalement on considère la thèse de l'immutabilité de l'être. On soutient la thèse de
Severino selon laquelle le Principe de non contradiction n'exprime pas simplement
l'identité de l'essentia avec soi même, mais bien aussi l'identité de l'essentia avec
l'esse. |
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