dc.contributor.advisor |
Rogozinski, Jacob |
it_IT |
dc.contributor.advisor |
Ruggenini, Mario |
it_IT |
dc.contributor.author |
De Sanctis, Francesco Paolo <1981> |
it_IT |
dc.date.accessioned |
2012-12-19T11:13:22Z |
it_IT |
dc.date.accessioned |
2013-07-29T07:43:24Z |
|
dc.date.available |
2012-12-19T11:13:22Z |
it_IT |
dc.date.available |
2013-07-29T07:43:24Z |
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dc.date.issued |
2012-09-19 |
it_IT |
dc.identifier.uri |
http://hdl.handle.net/10579/3057 |
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dc.description.abstract |
Nel pensiero contemporaneo (in tutti gli ambiti), il tradizionale problema del fondamento è scomparso. E non a torto: i risultati più importanti del sapere odierno sono stati ottenuti, infatti, senza passare attraverso una ipostasi metodologica che il concetto di "fondamento" impone al pensiero. La fenomenologia, più che altro, sembra aver compiuto questo processo. Per farlo, tuttavia, essa manteneva un vocabolario spesso ambiguo o addirittura, essa si affermava esplicitamente come stando al fondamento delle scienze. Il nostro lavoro trova il proprio punto di partenza nella filosofia fenomenologica di Michel Henry. Quest'ultima permette di pensare un fondamento, e lo fa senza passare attraverso la violenza di una parola suprema, e contemporaneamente scavalcando il dogma di una teoria in cui il fondamento includerebbe una riaffermazione del dualismo, esso stesso nuovamente ipostatizzabile (come attraverso il tema dell'essere). Per Henry, il fondamento, essendo incondizionato, è l'apparizione di qualcosa che è. A sua volta, esso si dice come una condizione assoluta che si manifesta come una forza di manifestazione dell'essere. Ma il percorso verso il fondamento è ben difficile, poiché non vi è una tematizzazione di questo concetto in Henry; e senza possibilità di concettualità nel "dire il fenomeno", in un linguaggio che debba, per dirsi fondamentalment, esprimere l'immediatezza della manifestazione in quanto tale, un evento che si dica senza ricorrere ad un riferimento esterno. Importa poco la manière, il fondamento deve costruire la propria stessa problematica. Il fenomeno del fondamento rappresenta, attraverso un percorso ai limiti della filosofia, sia teoretica, sia empirico-trascendentale che sperimentale, il tentativo di pensare il fondamento come ciò che si manifesta senza mediazioni, manifesta un'alterità finalmente esplicitata a partire da un'immanenza irriducibile. |
it_IT |
dc.description.abstract |
Dans la pensée contemporaine (tous domaines confondus), le traditionnel problème du fondement a disparu. Et cela à juste titre : les plus importants résultats aujourd'hui ont été obtenus, en effet, sans passer par une hypostase méthodologique que le concept de « fondement » impose à la pensée. La phénoménologie, plus que toute autre approche, semble avoir accompli ce processus ; pour ce faire, cependant, elle a gardé un vocabulaire souvent ambigu ; voire, elle s’est réclamée expressément comme étant au fondement des sciences. Notre travail trouve son point de départ, dans la philosophie d’inspiration phénoménologique de Michel Henry. Elle permet de penser un fondement sans passer par la violence d’un maître-mot, et simultanément sans passer par le dogme d’une théorie où le fondement porterait à une réaffirmation des dualismes, lui-même hypostasié (comme « être » par exemple). Pour Henry, le fondement, comme ce qui est sans condition, est l’apparaître de quelque chose. À son tour, il se dit comme une condition absolue de tout ce qui se manifeste, comme une force de manifestation de l’être. Mais le chemin vers un fondement s’avère difficile, puisqu’il n’existe pas de thématisation de ce concept chez Henry, ni de possibilité de « concept » de fondement dans le « dire le phénomène », dans un langage qui doit, pour se dire fondamental, exprimer l’immédiateté de la manifestation en tant que telle, une manifestation qui se dise elle-même sans avoir recours à une référence externe. Peu importe la manière, le fondement doit lui-même bâtir sa propre problématique. Le phénomène du fondement représente, à travers un parcours aux limites de la philosophie, à la fois théorétique, empirico-transcendantale et expérimental, la tentative de penser le fondement comme ce qui se manifeste et, sans médiation, manifeste une altérité finalement comprise à partir d’une immanence irréductible. |
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dc.description.abstract |
In contemporary thinking (all fields included), the traditional problem of the foundation has disappeared. Rightfully: the most important results today have been obtained, in fact, without going through a methodological hypo-stasis that the concept of “foundation” imposes to the thought. Phenomenology, more than any other approach, seems to have been through this process ; for doing so, however, it kept a vocabulary often ambiguous ; it even claimed it specifically as the foundation of science. Our work finds its starting point, in the phenomenological philosophy of Michel Henry. It suggests a basis without going through the violence of a master word, and simultaneously bypassing the dogma of a theory in which the foundation would be a reaffirmation of dualism, itself an hypo-stasis (as the "being", for example). For Henry, the foundation, understood as what is unconditional, is the appearing of something. Thus he says as an absolute condition that manifests itself as a force of manifestation of being. But the path to one foundation is difficult, since there is no theming of this concept in Henry, and no possibility of “concept” basis in the “to say the phenomenon”, in a language that has, to say fundamental, to express the immediacy of the event as such, an event which tells itself without using an external reference. Anyway, the foundation itself must build its own problems. The phenomenon is the basis, through a journey to the limits of philosophy, theoretical, empirico-transcendental and experimental, trying to understand of the foundation as what is manifest and without mediation, manifest otherness finally understood from an irreducible immanence. |
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dc.format.medium |
Tesi cartacea |
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dc.language.iso |
fr |
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dc.publisher |
Università Ca' Foscari Venezia |
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dc.rights |
© Francesco Paolo De Sanctis, 2012 |
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dc.subject |
Fondamento |
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dc.subject |
Fenomeno |
it_IT |
dc.subject |
Henry, Michel |
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dc.subject |
Fenomenologia |
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dc.subject |
Ontologia |
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dc.subject |
Essere |
it_IT |
dc.subject |
Immanenza |
it_IT |
dc.subject |
Trascendenza |
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dc.title |
Le phénomène du fondement : essai sur la philosophie de Michel Henry |
it_IT |
dc.title.alternative |
Il fenomeno del fondamento : saggio sulla filosofia di Michel Henry |
it_IT |
dc.title.alternative |
The phenomenon of foundation : essay on the Michel Henry's philosophy |
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dc.type |
Doctoral Thesis |
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dc.degree.name |
Filosofia |
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dc.degree.level |
Dottorato di ricerca |
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dc.degree.grantor |
Scuola di dottorato in Scienze umanistiche |
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dc.description.academicyear |
2009/2010 |
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dc.description.cycle |
23 |
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dc.degree.coordinator |
Natali, Carlo |
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dc.location.shelfmark |
D001267 |
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dc.location |
Venezia, Archivio Università Ca' Foscari, Tesi Dottorato |
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dc.rights.accessrights |
openAccess |
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dc.thesis.matricno |
955687 |
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dc.format.pagenumber |
474 p. |
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dc.subject.miur |
M-FIL/01 FILOSOFIA TEORETICA |
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dc.description.note |
Co-tutela con l'Università di Strasburgo |
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Table des matières
Remerciements 5
Sommaire 17
Table des abréviations 19
Ouvrages de Michel Henry. 19
Autres ouvrages. 19
Préambule à une ambivalence dans la phénoménologie 21
§ 1. Introduction. Les variations sur le fondement dans la phénoménologie autour de 1929 et dans l’œuvre de Michel Henry (1963-2002) 33
Le fundieren comme « excédent » dans l’intuition catégoriale : aux origines de la constitution intentionnelle et de la question de l’être. 35
La constitution phénoménologique, le double sens de l’évidence et l’ébauche de la Seinssphäre. 38
Structure, transcendance et fondement dans la destruction du Grund : l’Abgrund heideggérien. 42
Le « fondement » dans une théorie transcendantale de la méthode : le operativer Begriff. 45
L’inspiration phénoménologique animant la philosophie de Michel Henry : fondement et immanence. 51
Du fondement au Dire : les « paroles du Christ ». 54
PREMIERE PARTIE
L’interrogation
Le dégagement du fondement onto-phénoménologique à partir
de sa paratopie : la problématique théorético-formelle
§ 2. Le fondement onto-phénoménologique 60
L’enclavement dysfonctionnel d’une pure opposition contre
le langage du monde. 60
Le paradoxe de l’interrogation sur le fondement :
l’hypothèse bipolaire initiale. 63
La paratopie : le dégagement de la problématique théorético-formelle. 65
La nécessité du dégagement théorético-formel du fondement :
la problématique. 68
« L’être doit pouvoir se montrer ». Le fondement onto-phénoménologique et ses trois aspects formels. 71
L’« essence de la manifestation ». 78
Approfondissement : les métaphores de la « fulguration » et la première et seule définition positive du fondement comme « ce qui est en se manifestant ». 85
Le premier aspect formel : l’originaire excédence du fondement onto-phénoménologique. 89
Le deuxième aspect formel : la « réalité » du fondement et la nouveauté apportée par la théorie de l’apparaître double. 92
Troisième aspect formel : le passage à la limite des Sachen du monde
à la Wie der Sachen de l’apparaître. 97
§ 3. Les origines de la problématique du fondement et la différence onto-phénoménologique 102
Réaction anti-(néo)kantienne : contexte et lecture du Kantbuch. 103
La Grundlegung comme ébauche de la répétition de la métaphysique dans la Fundamentantologie : le problème de la connaissance ontologique. 107
Les insuffisances de la Grundlegung heideggérienne et le désenclavement
de la Parole : différence onto-phénoménologique fondamentale et capacité négative de demeurer dans la crise du fondement. 111
§ 4. La traversée dans l’aporétique du fondement onto-phénoménologique 118
Le délicat héritage de la paratopie : l’aporétique. 119
Au seuil de l’aporétique : l’interrogation la plus ardue. 120
L’aporie de l’onto-phénoménologie : le fondement est-il transphénoménal ? 122
L’aporie du fondement : le fondement phagocyte-t-il la phénoménalité ? 126
L’aporie du fondement onto-phénoménologique I : l’ostension interne. 130
L’aporie du fondement onto-phénoménologique II :
au-delà de la transitivité. 133
La causalité immanente : initiation à la résolution de la dernière aporie. 136
La perpétuelle hantise de l’ostension comme hantise de l’aporétique sur le dégagement théorético-formel du fondement. 139
DEUXIEME PARTIE
L’épreuve
La montrance :La structuration du fondement onto-phénoménologique
§ 5. Structuration, pédagogie, critique immanente : le phénomène du fondement 143
Le style de la philosophie de Henry et les graves limites narratives
dans ses romans : le problème du dogmatisme et la nécessité d’une épreuve
du fondement. 144
Le bouleversement des notions : l’épreuve des épiphanies et la refonte de l’effondement. 149
La montrance du fondement et la structuration de l’épreuve : le phénomène du fondement. 153
Les immanentaux et le pathématisme des épiphanies : la « pédagogie » du fondement. 156
Le dépassement des antinomies de l’essence de la manifestation. 163
Éveil stylistique, persuasion et « libre critique immanente ». 166
Chapitre premier. Le déploiement du Fond et l’excédence du soi :
l’intranquillité 173
§ 6. Le Fond du fondement 173
S’interroger sur « l’essence de la manifestation » impliquerait-il une séparation illégitime entre « intérieur » et « extérieur » (M. Haar) ? 174
Le calibre spinoziste du rapport immanent entre la substance infinie et ses modes déterminés. 177
La « causalité essentielle » : la « Déité » sous le modèle du « pli ». 183
L’unité de l’essence : le Fond. 186
§ 7. L’auto-effondrement du monisme 189
Le délire ek-statique : la critique du monisme. 189
L’autonomie du fondement dans la non-vérité de l’aliénation moniste. 193
Le dualisme moniste et le « fondement » comme évitant une rechute dans un dualisme moniste. 197
§ 8. L’empirisme transcendantal 203
La notion de sujet hypokéiménal et sa portée anti-métaphysique. 203
L’excédence du Soi : le dynamisme, l’affectivité et le « rythme de la vie ». 206
L’intranquillité, le notion d’aperception interne
et l’empirisme transcendantal. 211
Chapitre 2. La structure duale et le corps propre : l’intensité 217
§ 9. La dualité interne 217
La « riposte du dualisme » (ou « du solipsisme ») de R. Barbaras. 217
La notion de chair. La « dualité interne » âme-corps plus fondante
que la prétendue « dualité d’ek-stase » sujet-monde. Duplicité, dualisme,
dualité (et dyade). 220
L’inexistence onto-phénoménologique d’une force relative. Le « moi » : de la dualité interne à l’ipséité. 224
Le « fait primitif » comme dualité primitive et le continu résistant. 227
§ 10. La critique de la critique de la psychologie rationnelle 233
Une théorie de la représentation n’atteigne ni l’âme ni, et surtout, l’objet. 233
Le manque d’une théorie transcendantale de la réceptivité chez Kant. 237
Synthèse générale et résultat de la refonte du kantisme. 238
L’incompréhension henryenne du formalisme kantien. 244
§ 11. L’auto-affection 250
L’imagination transcendantale et le sens interne : limites de la position henryenne et sa propre fécondité. 250
L’auto-affection contre le temps, emblème de toute « structure » figée et vide de phénoménalité. 253
« La forme du flux ». 257
L’intensité. 259
Chapitre 3. L’effectivité de la révélation et la radicalisation à l’ego : l’intraçable 261
§ 12. Un « autre inconcussum » est-il fondamentalement possible ? 261
Le dialogue inaccompli : M. Henry et J.-L. Marion. 262
La « riposte de l’originaire phénoménologique » de J.-L. Marion, venant d’un partage à Henry au sujet de la phénoménalité. 264
Les quatre principes en tant qu’également invalidés par Henry.
L’affaire de la lecture « cordiale » de J.-L. Marion
et la véhémente réponse posthume de Henry. 268
La quête partagée vers une phénoménalité originaire et la perspective marionienne d’une donation en retrait : le pli du donné dans Étant donné. 274
§ 13. Le « sens de l’être de l’ego » et l’accusation d’onticité à
la Fundamentalontologie de Sein und Zeit 278
La « substantialité phénoménologique propre » et les « jeux de langage » marioniens. 278
Le danger d’une morphologie idéaliste et d’un questionnement sur la question : « le sens de l’être de l’ego » et « l’effectivité » de l’ego. 282
L’onticité de la Seinsfrage. 289
§ 14. Sur l’« être-recouvert » et sur la possibilité de la phénoménologie :
la révélation 295
La « phénoménologie radicale ». 295
Au sujet d’une méthode immédiate : discussion et malentendu sur le concept « formel » et le concept « phénoménologique » de la phénoménologie chez Heidegger. 298
En-deçà du retrait du phénomène du monde : vers un Invisible radical. 303
La Nuit du phénomène. 309
L’intraçable. 314
TROISIEME PARTIE
La recherche
L’onto-phénoménologie génétique fondamentale :
la fondation
§ 15. La fondation de la transcendance 321
La notion de généalogie. 322
Pourquoi ne pas s’arrêter à l’épreuve du fondement ? 324
Limites aporétiques de l’« hyper-transcendantalisation ». 325
La description onto-phénoménologique et les apparitions-limites. 327
Une recherche génétique concrète. 330
Schéma didactique de la troisième partie : les nœuds critiques. 331
Chapitre premier. Le cogito affectif 335
§ 16. La contre-réduction au sentir (videre videor) 335
L’enjeu fondationnel de la « contre-réduction ». 335
Le double apparaître du doute. 339
La formulation du « videre videor », décalque
de l’« onto (-) phénoménologie ». 340
La « perte » des Meditationes et l’équivocité du « sentire » chez Descartes. 343
La radicalisation du cogito dans la « passion » et l’argument du rêve.
Le début d’une recherche génétique. 346
Le double statut de l’idée. 350
§ 17. Pulsion et représentation 356
« “Expliquer” l’amour par l’amour » : l’herméneutique psychanalytique. 356
La représentation de la pulsion dans la première topique. 358
La difficulté posée par la « scorie » du refoulement chez Ricœur et
l’Ur-räpresentanz du fondement. 362
Une coda freudienne. 366
Chapitre 2. L’effort 370
§ 18. Le Je peux dans la déduction des catégories et sa passivité. Le sentiment 370
Le corps organique : la frontière entre immanence et transcendance. 371
La déduction des catégories du Je peux : la catégorie de causalité. 373
La dualité chez Biran comme problème ontologique de la passivité. 376
L’apparition-limite de la peau. Les nœuds critiques du support à l’effort
et le « critère d’extériorité ». 380
Une recherche génétique complexe : le sentiment. Une description intégrale ? 383
L’obscurité du sentiment. La « coextension » entre affectivité et sentiment,
et la singularité de celui-ci comme intelligibilité fondationnelle. 388
§ 19. L’irréalité de l’économie et la généalogie de l’histoire 391
La praxis et le travail vivant. L’idéologie comme apparition-limite. 391
La « fuite de la vie ». 394
La baisse tendancielle du taux du profit. 397
Annexe « L’individu agissant dans des conditions ». L’« affaire »
de la fondation de l’histoire devant la lecture du Marx faite par Ricœur. 406
Chapitre 3. L’altérité d’autrui 412
§ 20. L’idole de l’altérité d’autrui 412
La présence de Scheler dans la philosophie henryenne. 413
La perception du psychisme. 415
L’unité psycho-physique face aux paralogismes de la médiateté dans une phénoménologie naturalisante. 417
L’infondation de la « nappe affective » chez Henry et la « trans-intelligibilité » d’autrui chez Scheler. 421
L’altérité relative d’autrui chez Scheler. 423
D’un tourbillon la vie : l’altérité et son idole. 425
§ 21. Une « radicalisation » extrême : l’engendrement dans la Vie 429
L’écart interne : le lien religieux. 430
La notion de naissance (génération-engendrement). 432
Absurdité onto-phénoménologique d’une phénoménologie de l’engendrement. 435
Conclusions. L’essai sur le fondement onto-phénoménologique dans la philosophie de Michel Henry et les aperçus d’une recherche à partir du sentiment 440
Index rerum 448
Index nominum 453
Bibliographie 457
Œuvres de Michel Henry 457
Ouvrages sources. 457
Autres contributions de M. Henry citées mais non rééditées dans les recueils posthumes. 458
Contributions à la base du présent travail 458
Autres auteurs 458
Commentaires et analyses 461
En référence complète ou partielle à Michel Henry. 461
Autres études. 463
Œuvres littéraires 465
Œuvres cinématographiques 467 |
it_IT |
dc.identifier.bibliographiccitation |
Francesco Paolo De Sanctis, "Le phénomène du fondement : essai sur la philosophie de Michel Henry", Tesi di dottorato in cotutela (Università di Strasburgo / Università Ca' Foscari Venezia), 2012 |
it_IT |
dc.degree.discipline |
Fenomenologia |
it_IT |
dc.degree.discipline |
Ontologia |
it_IT |
dc.degree.discipline |
Teoretica |
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